Noirceurs Parisiennes

Univers ambigu renversant les tabous,
Ton atmosphère étrange entretient les esprits
D’une quête assoiffée ne connaissant de prix !
Mais quel Démon coquin les fait tenir debout ?

Cadences endiablées des galères Romaines
Aux accents lancinants tout aussi fracassants,
Vos rythmes aliénants et pourtant peu dansants
Voient de nouveau le jour dans la boîte inhumaine…

Oh ! Pantins bien charnels dénués de raison :
Que de pitié j’éprouve en scrutant la candeur
De vos faits amoureux empruntant les odeurs
A la bestiale envie de la folle saison !

Vos âmes payeront la douloureuse histoire
Née d’un affreux brouillon de lyres métalliques,
De falsifications, d’attirance électrique
Germés dans l’inconscient le temps d’un sombre soir…

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