Ronde éternelle

Je t’aime ô toi la vie, je t’aime ô harmonie,
Tu me donnes l’envie, l’envie d’aimer les fleurs,
M’élèves en douceur avec parcimonie,
Moi qui ne suis qu’un homme, un homme empli d’erreurs
Tu m’offres l’odorat pour goûter tes senteurs…

Je t’aime ô toi la vie, je t’aime ô délicieuse
En enfant tu m’émeus, m’émeus en mon doux cœur
Et m’envoie enchantée, la femme radieuse,
Moi qui ne suis qu’un homme, un homme en tout malheur
Tu m’offres le toucher pour avoir ta candeur…

Je t’aime ô toi la vie, je t’aime ô festival,
Si tôt j’ouvre les yeux, les yeux sur mon humeur
Que tu me fais danser au sein du plus beau bal,
Moi qui ne suis qu’un homme, un homme fait de heurts
Tu m’offres le regard pour croquer tes saveurs…

Je t’aime ô toi la vie, je t’aime ô ambroisie,
Tu me berces gaiement dans tes flots de bonheur
Et j’apprécie tes mets d’Europe ou bien d’Asie,
Moi qui ne suis qu’un homme, un homme avec ses peurs
Tu m’offres tous tes goûts pour jouir de ta fraîcheur…

Je t’aime ô toi la vie, je t’aime ô symphonie,
Tu es à mon écoute et m’aide en ta chaleur,
Tes chants de réconfort m’apportent mille envies
Moi qui ne suis qu’un homme, un homme de douleurs
Tu m’offres ta douce ouïe pour être ton sauveur…

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